La fin du monde est un roman d’anticipation de la fin du XIXème siècle écrit par Camille Flammarion, dont la famille a fondé l’une des plus puissantes et prestigieuses maisons d’édition françaises.
L’Histoire de la fin du monde
Une comète a été repérée, filant droit sur la Terre. L’humanité retient son souffle, redoutant son extinction. Les plus grands scientifiques et théologiens du monde se réunissent pour débattre de la fin du monde et parviennent à une même conclusion : les mondes meurent de vieillesse, non d’accident.
Et effectivement, l’humanité survit à cette catastrophe et s’installe dans un nouvel âge d’or… Mais l’avènement d’une utopie fondée sur la paix et la science périclite lentement, avec l’agonie du soleil qui prive progressivement la Terre de lumière et de chaleur.
Pourquoi faut-il le lire ?
Nous retrouvons avec La fin du monde de Camille Flammarion tous les codes de la science-fiction du XIXème, qui laisse la part belle à la science et possède une composante didactique forte. Le thème de l’anticipation n’est finalement, dans La fin du monde, qu’un prétexte qu’utilise Camille Flammarion pour nous offrir une réflexion profonde sur la science et le rôle qu’elle peut jouer au service de l’humanité.
Un classique, qu’il faut avoir lu, quand on aime le style d’auteurs, comme Jules Verne ou, dans une moindre mesure, HG Wells.